Bonjour Dali, merci pour ton mail, quand tu dis « travailler en harmonie avec les autres et la nature » qu’est-ce que tu vois comme types d’activités professionnelles qui vont dans ce sens ?
C'est une question tellement difficile. Déjà, je pense qu'il ne faut pas oublier que certaines personnes ont des responsabilités (genre des enfants) qui font que l'oseille doit rentrer peu importe la manière sur le court terme. Après pour le reste, je dirais que c'est à toi d'en juger, et d'essayer d'être le plus sincère possible.
Ça c’est clair ! Le fameux mode « survie » d’une grande partie de la population, un toit et à manger, le reste passant au second plan. Est-ce qu’un guide de montagne est plus heureux qu’un ouvrier d’usine ? Est-ce qu’une profession qui rapproche de l’humain et de la nature nous rend plus heureux ? Il faudrait inverser ces professions un certain temps et étudier les changements psychologiques et physiologiques. D’un autre côté, il existe parmi nous des personnes qui sont tellement déconnectées de la nature, qu’elles en viennent à crier à la mort à la moindre souris ou à la moindre abeille. D’où le succès des villes et là décroissance des campagnes (même si certains rares villages français qui font exception voient leur population doubler ou tripler)
C'est beau ce que tu nous racontes là Dali
Par rapport aux vêtements de qualités, est-ce que tu aurais des marques à conseiller (vêtements naturels et fait en France / Europe) ?
Saint-James c'est stylé !
Bonjour Dali, merci pour ton mail, quand tu dis « travailler en harmonie avec les autres et la nature » qu’est-ce que tu vois comme types d’activités professionnelles qui vont dans ce sens ?
C'est une question tellement difficile. Déjà, je pense qu'il ne faut pas oublier que certaines personnes ont des responsabilités (genre des enfants) qui font que l'oseille doit rentrer peu importe la manière sur le court terme. Après pour le reste, je dirais que c'est à toi d'en juger, et d'essayer d'être le plus sincère possible.
Ça c’est clair ! Le fameux mode « survie » d’une grande partie de la population, un toit et à manger, le reste passant au second plan. Est-ce qu’un guide de montagne est plus heureux qu’un ouvrier d’usine ? Est-ce qu’une profession qui rapproche de l’humain et de la nature nous rend plus heureux ? Il faudrait inverser ces professions un certain temps et étudier les changements psychologiques et physiologiques. D’un autre côté, il existe parmi nous des personnes qui sont tellement déconnectées de la nature, qu’elles en viennent à crier à la mort à la moindre souris ou à la moindre abeille. D’où le succès des villes et là décroissance des campagnes (même si certains rares villages français qui font exception voient leur population doubler ou tripler)