Ma leçon de la semaine.

Pourquoi je dois apprendre à renoncer.

Salut, c’est Dali.

En 4 ans de création, je me suis toujours autorisé beaucoup de liberté.

Que ce soit dans le contenu ou dans la manière de le faire.

Pour preuve, j’ai testé : podcast, newsletter, YouTube, TikTok, LinkedIn, Twitter…

Pareil dans le sport.

En 3 ans : MMA, paddle, trail, triathlon, foot, boxe…

Alors aujourd’hui, même si ça me fait mal de l’admettre, je dois renoncer.

Je ne sais pas toi, mais perso, je fais partie de ceux qui aiment jouer pour GAGNER.

C’est comme ça que je prends le plus de plaisir, même si ce n’est pas toujours indispensable.

Progresser, devenir meilleur, voire même LE meilleur : c’est mon carburant.

Mais ce n’est pas toujours une qualité.

Par exemple, quand je suis nul dans un truc, j’abandonne vite.

Je déteste me sentir inférieur aux autres, alors je laisse tomber.

Autre souci : je suis ultra-curieux.

Je commence plein de choses, mais je ne vais pas vraiment au bout, alors je change, encore, et encore.

Et je dois bien me rendre à l’évidence :

Pour devenir bon dans un domaine (ce que je veux), je dois y consacrer plus de mes 3 ressources, c’est-à-dire : temps, énergie, argent.

Pas sur 36 plateformes, mais UNE SEULE

Pas sur 27 projets, mais UN SEUL.

“La généralité est parfois l’ennemie de la performance.”

Alors avant-hier, j’ai pris une grande décision :

J’arrête mon podcast Light — et je me concentre à fond sur la création de vidéos.

Dans ce genre de moment, j’ai toujours l’impression de passer à côté de quelque chose.

Une sorte de FOMO.

Comme le dit l’adage : choisir, c’est renoncer.

Mais il y a un truc que j’ai découvert récemment :

Même si tu creuses pendant 20 ans un seul et unique domaine, tu peux y trouver chaque jour de la nouveauté.

Par exemple : créer des vidéos YouTube.

Rien que dans ce domaine, tu touches déjà à plusieurs disciplines :

• Écriture

• Tournage

• Montage

• Graphisme

• Comptabilité…

Et en plus de ça, les vidéos te permettent de vivre des expériences ou de raconter des choses complètement différentes à chaque fois.

C’est fabuleux — encore faut-il savoir le voir.

C’est une sorte d’Effet Dunning Kruger (mais dans un sens différent)

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Une des raisons qui me pousse à changer souvent, c’est la peur de m’ennuyer à cause de la monotonie.

Ne plus apprendre, et faire toujours la même chose, quel enfer.

Mais au fond, je crois que j’ai surtout peur de ne plus être au niveau.

Même Ronaldo fait des mauvais matchs, malgré ses 100 000 heures de pratique.

Rien n’est jamais acquis — encore moins la performance.

Bien sûr, recommencer sans cesse dans un nouveau domaine donne cette sensation agréable de "quick win", de progression rapide…

C’est super, mais c’est aussi un bon moyen d’éviter la frustration.

Et moi, c’est justement ce que je cherchais.

Mais aujourd’hui, je crois avoir compris.

J’ai compris que mon syndrome de Vinci, cette tendance à sauter d’idée en idée, c’était avant tout une stratégie pour fuir la frustration.

Maintenant, j’accepte l’idée de me concentrer sérieusement sur un seul truc — quitte à échouer.

Pour sûr, j’arriverai à un niveau que je n’ai jamais touché (et c’est déjà incroyable).

Affaire à suivre…

L’atelier Création IRL a eu lieu dimanche dernier et c’était vraiment un bon moment.

Je propose une nouvelle édition ce dimanche 18 mai.

Le concept reste le même :

• 10 personnes

• 🧠 De la théorie + 🎥 de la mise en pratique

• Dimanche 18 mai, de 9h à 12h

• 📍 Lieu : Proche de Montpellier, dans mon studio vidéo perso (l’adresse exacte sera envoyée après inscription)

• 💰 Tarif : 30 € (prix spécial deuxième édition)

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Toutes les infos sont ici 👇

https://www.dalidutilleul.com/atelier-creation

À bientôt,

Dali