Les limites de l'argent.
Ce que j'ai appris en gagnant 100k.
L’argent domine et dicte le monde depuis quelques siècles.
Sans lui, difficile de s’en sortir aujourd’hui.
Et malgré tous les problèmes liés à cette ressource, cela reste avant tout une invention formidable.
Avant, on échangeait des kilos d’or ; maintenant, il suffit d’envoyer des données électroniques.
Mon dos remercie ses créateurs.
Dès mon plus jeune âge, j’ai nourri l’ambition d’acquérir un paquet d’argent.
Pourquoi ?
Pour me rendre fier, pour avoir plus de liberté, pour briller aux yeux des autres et pour augmenter mon statut.
J’écoutais récemment un psychologue qui disait :
“Le business, notamment chez les hommes, est un excellent moyen d’utiliser sa force créative (souvent mise de côté) et de se sentir utile dans le monde.”
Comme dirait Sam Ovens : “Business is all about solving problems.”
Plus largement, la capacité à résoudre des problèmes est peut-être la compétence la plus utile dans la vie.
En anglais, on parle de HIGH AGENCY.
Tu n’as pas de nourriture dans ton frigo ? Tu trouves un moyen d’en avoir.
Tu as un problème de dos ? Tu trouves un moyen de le résoudre.
L’argent est aujourd’hui la “métrique” la plus fiable pour mesurer sa capacité à résoudre des problèmes.
Et c’est là que les vrais problèmes peuvent apparaître (étonnamment).
Le 31/11/2023, j’ai généré 100k euros de chiffre d’affaires à la suite du lancement de ma formation Social Maestro.
C’est ma plus grande réussite financière, et j’ai beaucoup appris de cette expérience.
Par exemple, que c’est génial de faire ses courses sans regarder le prix du kilo des courgettes.
Que c’est génial d’acheter une nouvelle cuisine à sa mère.
Que c’est génial de partir en Chine seul.
Mais voilà une autre chose que j’ai apprise.
L’argent peut inhiber notre capacité à résoudre des problèmes.
Prenons l’exemple d’un riche Monégasque qui veut se lancer dans la création de contenu.
Pour commencer, il va embaucher du monde : vidéaste, monteur, copywriter, graphiste... Il lui faut une équipe de choc.
Ainsi, il n’aura qu’à être devant la caméra.
Il a de la chance ?
Oui et non.
Pour devenir un bon créateur, il faut savoir résoudre les problèmes qui y sont liés.
Construire une histoire, faire du montage, écrire des vidéos captivantes…
Quand on résout les problèmes à votre place, vous perdez petit à petit votre capacité personnelle à le faire.
C’est pour cette raison que tous les “créateurs” business échouent sur les réseaux.
Ils ne savent même pas utiliser une caméra.
L’argent n’a pas vocation à supprimer les contraintes et les problèmes.
La plus belle chose qu’il a à offrir, c’est la liberté.
La liberté de choisir ses problèmes.
C’est tout.
J’irais même plus loin en disant qu’il permet de pouvoir résoudre encore plus de nouveaux problèmes.
C’est ça, le luxe.
Pendant le défi SDF to Millionnaire, s’il y a bien quelque chose qui m’a rendu vivant, c’est de devoir résoudre en permanence des problèmes.
Trouver un logement, un endroit pour manger, un business à lancer…
C’était épuisant, mais tellement stimulant.
Je n’avais rien, et pourtant, ma capacité à résoudre des problèmes était immense.
Alors voilà, je me souhaite d’avoir de GRANDS problèmes à résoudre dans le futur et d’apporter une contribution au monde.
La session 2 du Banquet est full, hâte d’en retrouver certain d’entre vous (surtout pour le livre pépite que j’ai sélectionné).
Comme d’habitude, tu peux répondre et partager ton point de vue (merci à tous ceux qui l’ont fait pour la dernière newsletter, c’était super intéressant).
A bientôt,
Dali.
Merci Dali
Merci Dali pour ces partages